Heureuse soumission ?
RÉSOLUTION DE L'INTELLIGENCE
Heureuse soumission à Dieu !
POSITION AU NOEUD GORDIEN
L'idée de « Joyeuse soumission à Dieu »[1] se réfère à l'amour dont le Seigneur nous donne les preuves chaque jour en nous aidant à trouver un chemin. A cette idée, purement expérimentale, l'idée d'heureuse soumission à Dieu ajoute une nuance de gratitude, fondée par la conscience d'un cynisme persistant[2], à côté duquel les péchés capitaux pourraient passer pour véniels, et dont cette aide nous protège.
Position au Nœud gordien
Vu le caractère invariant des alibis et mobiles de l'insatiabilité criminelle, et sa dissimulation par le « caractère évènementiel » de l'histoire, il n'y a pas d'endroit plus approprié pour témoigner de la nécessité « d'aborder les problèmes avec courage et franchise, et les résoudre avec foi »[3] — devise de Charles-Henri Coutis (1919-2004).
Colonnes de l'Édifice
Vu la confusion, vu le silence, « l'humilité devant les faits »[4] est plus que jamais nécessaire pour trouver un chemin. Et lorsque celui-ci est trouvé, ce que le sanctuaire de l'école doit préserver, ce sont les « deux colonnes »[5] — raison et foi — de l'édifice de ce message unique de salut, si bien servi par la thèse « Jeunesse, école et démocratie. »
Présentation de l'Atelier
L'émergence d'un nouveau système de choses, avec l'Extrême-Orient, ne nous dispense pas de rechercher ce qui est juste, bien au contraire. « L'enjeu de la réflexion proposée est de s'affranchir des obstacles à ce qui est juste. Et de lever ces obstacles par une foi pleine et entière. Une foi laïque. Sans préjugés ni trafics. Qui va permettre, paradoxalement, de retrouver Dieu. » (Livre 2 p. 3)
Notes
[1] Au centre de la Campagne 2020 / Livre 3 questions 4 et 26 / Livre 4, présentation
[2] Référence notoire à la création, par la France, du monopole de l'opium à l'origine de la "French Connexion"
[3] Henri Coutis, Jeunesse, école et démocratie, le travailleur de l'enseignement technique n° 131, juin 1959
[4] François Michelin, "Bib" journal interne de l'entreprise, 1976
[5] Oswald Wirth (1860- 1943)
« Apporter ma pierre à l'édifice, non que le Patrimoine soit si défaillant, mais l'Antagoniste est si turbulent qu'il n'en laisse rien, que simulacre et trahison. » (Livre 2, p. 2)